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7 films culte sur la MAFIA à voir ABSOLUMENT

Recommander Par Hervé Resse 09 novembre 2019

7 films culte sur la MAFIA à voir ABSOLUMENT
paramount pictures
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Le nouveau film de Martin Scorcese, The Irishman, sera visible en France uniquement sur Netflix. Ceux qui l’ont déjà vu parlent d’un chef-d’œuvre… Tout n’aurait donc pas encore été raconté sur les syndicats du crime américains ? Pourtant, que de films magistraux, tournés sur le sujet !

Conseil 1 : les liens et photos cliquent vers des extraits parfois violents et pouvant heurter les sensibles personnes ou enfants impressionnables.

Conseil 2 : pendant que vous lisez cet article, écoutez donc les sublimes musiques que composa Nino Rotta pour The Godfather ici et

Combien sommes-nous, qui n’adorons jamais tant Al Pacino, Robert De Niro, ou Joe Pesci, que lorsqu’ils jouent les « wise guys », les affranchis, petits mafieux de quartier ou grands patrons du crime organisé, voire même capo di tutti capi, soyons fous…  

Tous nous attendons l’évènement depuis des mois. Monsieur Scorcese est de retour, entourés des trois plus grands acteurs italiens de la génération « avant Di Caprio ». Sur Internet où chacun cite tout le monde, on reprendra ce qu’en dit Slashfilm.com : « The Irishman, une épopée criminelle, un film de potes, et une réflexion mélancolique sur la mortalité. De Niro, Pacino, et tout particulièrement Pesci, sont phénoménaux. C'est l'une des meilleures œuvres de Scorsese ». Ajoutez Harvey Keitel au casting, et vous avez une promesse presque trop belle pour exister. Nous verrons…

L’Irlandais, The Irishman, ce sera donc De Niro jouant Frank Sheeran, vétéran de la seconde guerre, devenu syndicaliste mouillé jusqu’au cou dans les affaires de la mafia, des années 50 jusqu’à ses vieux jours. L’homme, qui fêterait ses 100 ans l’an prochain (2020), prétendait en savoir beaucoup sur l’assassinat de J.F. Kennedy… Il l’attribuait volontiers à Jimmy Hoffa, que joue Pacino dans le film. Mais nous n’en dirons pas davantage. Ne rien spoiler ! Comptez pas sur nous, « Fo’get ‘bout it ! ».

Nous adorons faire des sélections parfaitement subjectives de 7 parmi tant d’autres, tant d’autres qui mériteraient tout autant leur place. On sait qu’on pourra nous le reprocher : comment ? vous oubliez « Once Upon A Time in America » ? Hein, vous zappez les deux Scarface, l’original avec Paul Muni (1933) et celui avec Pacino, ce sommet délirant ? Nous avons pris ce risque… Évoquer 7 films évoquant « La Famille », la ou les vraies : italiennes. Où l’on ne s’étonnera donc pas de retrouver maintes fois cités Pacino (qui n’avait pourtant jusqu’ici jamais tourné sous la direction de Scorcese), De Niro (qui ne l’avait plus croisé sur un plateau depuis Casino); et Joe Pesci qui aura raccroché au nez de ses vieux complices une bonne dizaine de fois, avant d’accepter finalement son rôle dans le film…

1 Film de mafia culte : La trilogie du PARRAIN

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THE trilogie. Une pure tragédie grecque couvrant plus de trente années, de l’immédiat après-guerre, d’où Michael Corleone (Pacino) revient auréolé de la gloire du combattant volontaire. Il se tient d’abord à l’écart des business de la famille, avant d’y seconder son père, (Marlonissime Brando !), puis de lui succéder…. On se souvient des autres membres du clan : le bouillant Sonny (James Caan), Fredo l’incapable (John Cazale), et le magistral consigliere Tom Hagen (Robert Duvall). Le destin de Michael Corléone se poursuivrait dans la 3ème époque jusqu’aux scandales financiers du Vatican de la fin des seventies, quand le blanchiment de milliards se mêlerait au sang des proches d’un pape très vite écarté des affaires (Jean-Paul 1er). 

Entre les deux, le deuxième opus racontait en parallèle deux ascensions vers le pouvoir qu’offrent le crime et l’argent réunis. Celle des débuts du XXème siècle, quand le jeune Vito Corleone (De Niro quasi débutant reprenant le personnage de Brando, jeune) partant du bas de l’échelle, faisait peu à peu son trou dans les affaires, le meurtre et l’influence ; et celle de la fin des années 50, où son fils Michael en quête de nouveaux marchés, lorgnait vers Cuba, après Vegas… mais juste avant que les barbudos castristes ne prennent l’île en mains. Les deux premiers sont exceptionnels, ils ont croulé sous les récompenses. Pourtant Francis Ford Coppola affirme avoir détesté les réaliser, trop surveillé peut-être par les « vraies » familles… Le troisième épisode fut certes de moindre envergure, chacun devine qu’il fut monté pour faire tourner la cash-machine. Mais ce Parrain 3 a ses charmes et ses drames, et reste parfois sous-estimé. Un Pacino vieilli, affaibli, y frôlait de peu reconnaissance et légitimité, confiait les affaires à son - trop - fougueux neveu (Andy Garcia). Mais, disaient les Romains, « Il n’y a jamais loin de la Roche Tarpéienne au Capitole » : souvent, plus dure sera la chute. La trilogie du Parrain est en somme indissociable. Dégustez-la en trois temps : vendredi soir, le 1er. Samedi, l’épisode 2. Et le 3, parfait pour un dimanche. Passez avant chez le traiteur italien du quartier, et notez #JDCJDR (cf dictionnaire des hashtags pour décoder) que les trois volets sont dispos sur Netflix (cela dit sans publicité aucune).

Fiche du film sur Cinémur.

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2 Film de mafia culte : Il était une fois le Bronx

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J’ai une grande tendresse pour celui-ci. Robert De Niro, pour la première fois, se place derrière la caméra, et joue à contre-emploi un second rôle d’honnête chauffeur de bus, soucieux de préserver son fils des mauvaises influences des malfrats du quartier. Ce Bronx italien des années 60 y est vu à travers les yeux d’un enfant qui grandit dans leur ombre. Le film est tiré d’une pièce de théâtre signée de l’acteur Calogero Palminteri, dit « Chazz », habitué des seconds rôles de films de voyous (mais pas que). L’auteur y tient le premier rôle, on le voit d'ailleurs dans l'extrait choisi. C'est lui qui dit à celui qu'il vient de rosser d'importance, cette phrase définitive: "regarde-moi. Je suis celui qui t'a fait ça. Ne m'oublie pas". 

Le film alterne des scènes de vie quotidienne dans un quartier sous contrôle, et quelques épisodes de vraie violence comme cette réjouissante (mais terrible) raclée essuyée par des Hell’s Angels débarquant (croyaient-ils) en terrain conquis. Cliquer sur le lien pour la déguster. De cette scène, on ne saurait à mon avis se lasser : adrénaline pure.

Le film évoluait ensuite vers le drame, inévitable, vu et vécu à hauteur d’hommes. Inspiré sans doute par Scorcese, De Niro y proposait une bande sonore impeccable riche de hits des sixties. 25 ans après sa sortie, je ne trouve pas que ce conte du Bronx ait mal vieilli…

Fiche du film sur Cinémur.

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3 Film de mafia culte : The Valachi Papers / Cosa Nostra

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On peut dire que dans la vraie vie, Joe Valachi restera pour l’Histoire  le premier « repenti » à avoir témoigné réellement des mœurs, usages et secrets de la Cosa Nostra. Il faut dire que de 1930 où il intégra les rangs de la Famille Reina comme chauffeur, à 1960 où il tombe pour trafic de drogue, cet américain fils d’une petite famille d’immigrés napolitains aura connu tous les chefs et exécutants des 5 familles new-yorkaises. Arrêté, il décide de collaborer avec le FBI pour protéger sa femme et leur enfant. On mettra bien des contrats sur sa tête, mais Valachi mourra en prison, en 1971. Peu avant sa disparition, le journaliste Peter Maas aura publié sa biographie, intitulée The Valachi Papers. Le livre sera adapté au cinéma par Terence Young, et sortira en France sous le titre Cosa Nostra. 

Charles Bronson, s’il n’est pas le plus grand acteur de l’histoire, y est tout à fait crédible dans ce rôle de petit truand de quartier, un peu timide ou gauche, qui peu à peu franchit les étapes et monte en grade autant qu’il prend en assurance. Lino Ventura, lui, y tient l’un de ses rares rôles de vrai méchant, si l’on excepte ceux des débuts : il incarne l’impitoyable Vito Genovese, né à Naples, l’un des patrons des 5 familles new-yorkaises, qui sera peu avant de mourir le « capo di tutti capi ». 

On peut dire que Cosa Nostra demeure un film de gangsters à l’ancienne, même s’il annonce aussi l’arrivée de Scorcese et Coppola… Il rappelle un peu ceux des années 40 et 50, tout en s’offrant de vraies scènes de vraie violence. On y découvre aussi les rites d’initiation de ce qu’il faut bien considérer, du moins à cette époque, comme une vraie société secrète. Pas inoubliable, mais très intéressant.

Fiche du film sur Cinémur.

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4 Film de mafia culte : Casino

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Qu’on nous permette de reprendre ici l’excellente section synopsis du passionnant article que Wikipédia consacre à ce film de 1995, signé Martin Scorcese : 

"Au début des années 1970, Sam « Ace » Rothsteinn (Robert De Niro) est envoyé à Las Vegas par la mafia de Chicago pour diriger l'hôtel-casino Tangiers, financé en sous-main par le puissant syndicat des camionneurs et qui sert de paravent à la mafia. Il a un contrôle absolu de toutes les affaires courantes, et gère d'une main de fer cette « terre promise », tandis que l'argent coule à flots. 

Le Tangiers est l'un des casinos les plus prospères de la ville. Ace est devenu le grand manitou de Vegas, secondé par son ami d'enfance, Nicky Santoron (Joe Pesci). Mais celui-ci va peu à peu prendre ses distances pour s'engager dans un chemin plus sombre et criminel. Impitoyable avec les tricheurs, et obsédé par la maîtrise de tous les événements, Rothstein se laisse pourtant séduire par une prostituée, Ginger McKenna (Sharon Stone), virtuose de l'arnaque et d'une insolente beauté. (…)

La mécanique bien huilée du Tangiers et la vie personnelle de Sam ne vont pas tarder à se gripper, et tous les personnages vont être voués à la déchéance, d'une manière ou d'une autre, et sans rédemption possible."

L’histoire est inspirée de personnages et faits réels, même si à la différence d’autres films, les noms ont été changés. Casino fait vraiment peur. Car tout ce qui brille y semble vraiment de l’or, de la moindre machine à sous aux plus luxueuses chambres des palaces... sauf quand vient le temps de payer le prix. Et comme le dit une chanson de Dylan, "on paye alors avec le sang". Joe Pesci est par moments d’une violence insensée, De Niro d’une tapageuse élégance, joue plus en retenue : businessman plus que gangster. Les tueurs y portent des masques d’insignifiance mais sont d’une cruauté sans borne. Il faut se laisser happer par cette chronique, longue de presque trois heures et qui fut pourtant amputée de 45 minutes ; exceptionnelles, aux dires de la monteuse du film. Peut-être le film ressortira-t-il un jour en version intégrale ?

Fiche du film sur Cinémur.

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5 Film de mafia culte : Donnie Brasco

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Pacino, petit pork-pie hat sur la tête, parlant vite avec l’accent rital doré sur tranche, est un petit mafieux de base qui possède sur les dix doigts les codes, mais n’a jamais réussi à grimper les échelons malgré sa bonne volonté (plus de vingt types dézingués en trente ans). Dieu sait pourquoi, il va se prendre de sympathie, puis d’une paternelle amitié pour ce jeune moustachu nommé Donnie Brasco. Sans vraiment le connaître, il décide de l’introduire dans le réseau, lui apprendre les ficelles « du métier ». Pour que Donnie progresse, et devienne, qui sait, le « wise guy » que lui-même aurait voulu devenir.

Mais Donnie, qu’incarne un jeune Johnny Depp, est en réalité Joseph D. Pistone, agent du FBI chargé d’infiltrer, d’enregistrer des conversations, faire tomber des têtes. Et ceci n’est pas du spoiling, la bande-annonce l’explicite parfaitement. L’histoire est par ailleurs totalement véridique. « Le plan Joseph Pistone » fut un succès, aboutissant à plus de 200 arrestations… Même si l’agent Pistone dût pour sa part changer de nom et vivre ensuite avec un gros contrat sur sa tête…

Le ressort essentiel est ici l’amitié réciproque entre le flic et le mafieux, elle se construit en même temps que grandit pour l’agent fédéral la tentation de basculer de l’autre côté. Il faut dire que Pacino est vraiment poignant dans ce personnage moitié bandit, moitié tocard, bien manipulé par celui qu’il croit éduquer. La psychologie des personnages s’en trouve enrichie, et le mythogène de « la famille », - ses codes, son langage, ses rites -, est finement décrit. Le réalisateur britannique Mike Newell, connu pour sa comédie romantique à succès « 4 mariages et un enterrement », réussissait là un magnifique film américain rendant leur once d’humanité aux affreux affranchis.

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6 Film de mafia culte : Les Affranchis

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"Affranchis" que revoilà, cette fois sous les ordres de Scorcese. De tous ceux ici retenus, ce film est probablement le plus speed, le plus débridé. Les compères De Niro et Pesci s’entendent comme larrons en foire, Pesci décrochera l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, il y est imprévisible jusqu'à la terreur, plus encore peut-être que dans Casino. Le troisième homme du clan est Ray Liotta, incarnant Henry Hill, italo-américain qui fit ses premiers pas dans le crime au milieu des fifties. On les suivra jusqu’au début des années 80, dans leur surenchère de quête de cash, qui mettra l’un d’eux le nez dans la poudre et les deux pieds dans la mouise. Les trois personnages ont réellement existé, leur histoire était résumée dans un livre intitulé « Wise Guys », mais le titre avait déjà été pris pour une série (et aussi par Brian de Palma pour une pochade avec Danny De Vito). C’est donc Goodfellas qui fut retenu, déclinaison argotique de « Bons Copains ».

Considéré comme l’un des meilleurs films de gangsters jamais réalisé, c’est peut-être celui qui montre le mieux le désir de toute puissance qui semble animer ces types, leur fond paranoïaque renforcé par la dépendance progressive aux substances qu’ils refourguent, et osons le dire, le fond clairement malsain qui les a envahis. Scorcese ne fait aucunement la morale, il montre, il y a presque une dimension « caméra vérité » dans ce film, qui fait que contrairement à d’autres films de ce genre, il parait difficile de ressentir pour eux la moindre empathie. De tous, il est en cela le plus cruel.

Fiche du film sur Cinémur.

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7 Film de mafia culte : Les Incorruptibles

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Évidemment, tant de louanges distribuées à ces films montrant sous toutes les coutures le crime, l’absence totale de morale, l’appât du gain et le commerce de tous types de produits illicites, pourrait laisser entendre que de tous ces méfaits nous approuvons les auteurs. Pour qui en douterait, précisons que nous pouvons applaudir aux films, aux histoires, aux acteurs, aux frissons qu’ils procurent, et désapprouver totalement « le réel » qui les a inspirés.

Pour (presque) terminer ce tour d’horizon, que force reste à la loi ! Que soient punis les méchants et que triomphent ceux qui s’opposent à leurs funestes actions. Et qui mieux que le légendaire Eliott Ness pour incarner alors cette vertu sans nous faire bayer aux corneilles ? 

Pour qui l’ignorerait encore, Eliott Ness n’était pas un policier mais un agent du trésor américain. Durant cette période mouvementée qu’on a appelé « La Prohibition », qui va de 1919 à 1933, l’interdiction de la vente d’alcool offrit un boulevard aux activistes criminels qui en firent fabrication, commerce et contrebande, incitation à la consommation en des lieux clandestins. La Police de l’époque laissait faire. Les histoires décrivant d’ailleurs la corruption récurrente au sein des forces de l’ordre américaines abondent : on peut regarder l’excellent film American Gangster, ou lire le passionnant roman Corruption de Don Winslow pour s’en convaincre. De cette collusion entre gangs et police allait émerger ce mythe des Incorruptibles, quelques agents résolus à ne pas "toucher" et à faire respecter la loi. 

Le film de Brian de Palma rend donc hommage à Ness et ses hommes en réunissant un beau casting, Kevin Costner en tête, secondé par un Sean Connery vieillissant mais formidable en vieux flic de terrain prêt à livrer bataille (mais le personnage n'exista pas dans l'histoire réelle) ainsi qu’Andy Garcia, cette fois du côté des gentils. Un De Niro quasi chauve y incarne un Al Capone paranoïaque et ultra violent, cynique et amoral au-delà de toute raison. Qui finira, l’histoire le sait, par tomber non pour ses activités mêmes de trafiquant et mafioso, mais pour fraude fiscale… Wikipedia note tout de même qu’à bien des égards, le film réécrit largement l’histoire, notamment la mort du bras droit de Capone, Frank Nitti. En revanche, l’inversion des deux jurys (celui initialement prévu pour juger Capone avait été largement soudoyé, Ness s'en rendit compte et intervertit le jury avec un autre) est aussi incroyable que vraie. 

Eliott Ness est mort en 1957, juste après avoir fini la rédaction de ses mémoires. Quand on lui demanda en avril 1933, ce qu’il pensait de l’abolition Volstead Act décidé par le président Franklin Delano Roosevelt, qui mit fin à la prohibition, la légende dit qu’il répondit : « j’irai prendre un verre pour fêter ça ! »

Nous avons choisi de vous faire vivre ou revivre la scène d’anthologie de l’Union Station, un moment de tension maximale, et qui rend hommage à la célébrissime scène du Cuirassé Potemkine d’Eisenstein…

Fiche du film sur Cinémur.

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8 Film de mafia culte : Mafia Blues

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Vous en voulez un dernier ? Partons alors pour le très drôle Mafia Blues, (titre original : "Analyze this") qui met face-à-face un parrain rattrapé par la dépression et les crises d’angoisse, et le psy (forcément juif) qui va le coacher. De Niro parodiant De Niro est à pleurer de rire, et Billy Cristal lui donne une réplique impeccable. On retrouve Chazz Palminteri jouant le vrai méchant psychopathe, mais cette fois pour de rire; et ce génial second rôle qu’était Joe Viterelli, une « gueule » comme on disait jadis, un physique de gros bras avec ici la cervelle de moineau qui l’accompagne. 


Le film envoie des scènes pastiches d’anthologie. En revanche le deuxième (Analyze That) est parfaitement dispensable, reprenant pour l’essentiel les effets qui surprenaient dans le premier…

Fiche du film sur Cinémur.

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