Découvrez les 4 piliers technologiques de l’ère digitale

La connectivité est l’un des piliers des avancées technologiques de notre ère. À notre époque, la téléphonie et l’internet sont devenus deux véritables atouts pour toute autre forme de progrès scientifique.

Qu’est-ce qu’englobe le concept de connectivité ?

L’informatique, l’internet et la téléphonie sont des axes d’un même système qu’on désigne par connectivité. De manière basique, la connectivité exprime également la possibilité de connecter plusieurs entités ou plusieurs réseaux entre eux. Les technologies d’accès à internet, la connectivité informatique, les réseaux de télécommunications et leurs dérivés ont permis de révolutionner de nombreux domaines comme la santé, l’information, l’éducation, le tourisme, le divertissement, etc. Même la circulation routière en tire parti avec des avancées comme Audi Connect, une gamme de technologies de connectivité qui permet les connexions à bord, des cartographies en haute définition dans les automobiles, une excellente compatibilité avec la 4G LTE et même une intégration d’objets communicants en réseau grâce à un module, car-to-x.

La connectivité et le boost des casinos en ligne

Pour en revenir au divertissement, les technologies de connectivité ont permis d’améliorer le niveau de l’expérience dans le domaine des jeux de hasard. Grâce notamment à l’internet et à la prolifération des outils informatiques comme les ordinateurs portables, les amateurs de machines à sous et d’autres jeux de hasard ont désormais la possibilité de parier depuis leurs maisons. L’industrie a profité de cette occasion pour laisser libre cours à la création des casinos en ligne qui sont aujourd’hui bien plus nombreux et plus facilement accessibles que les établissements physiques. Sur les meilleurs casinos en ligne, vous pourrez découvrir une panoplie de jeux de slots, de roulette, de poker, de blackjack et bien plus encore. En matière de sites de casino en ligne, les meilleurs choix restent les plateformes qui vous proposent également des bonus généreux avec lesquels vous pourrez augmenter votre capital de jeu pour parier. La connectivité, la téléphonie et ses nombreuses avancées ont rendu réelle la possibilité de profiter des jeux et bonus des meilleurs casinos en ligne depuis les téléphones portables et tablettes connectés. Cette forme de divertissement a donné une nouvelle jeunesse aux jeux de hasard en les rendant accessibles n’importe où, à n’importe quel moment et à un public toujours plus large.

De manière littérale, « Big » signifie grand et le mot anglais « Data » se traduit par données ; le Big Data désigne donc les mégadonnées ou les données massives produites virtuellement par les technologies numériques.

Le Big Data, qu’est-ce que c’est ?

Le phénomène du Big Data traduit le stockage de données massives sur des supports numériques. Ces vingt dernières années, le développement d’internet, des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, a nécessité la production d’un très grand nombre d’informations digitales, que ce soit sous forme de textes, d’images, de fichiers audio ou encore de fichiers vidéos. Étant donné qu’aucun outil classique de gestion de base de données n’était en mesure de gérer ce gros volume de données, l’idée de stockage numérique volumineux est devenue la meilleure perspective pour éviter de perdre les informations ou de limiter les mises à jour technologiques par manque de stockage. Dans sa perspective d’être une alternative efficace aux serveurs SQL, le Big Data se base sur trois grands principes qu’on appelle encore les 3V. Il s’agit premièrement du Volume de données considérable qu’il permet de traiter, de la Variété d’informations auxquelles il permet d’avoir accès, et de la Vitesse (vélocité) qu’il déploie dans la création des données, dans leur collecte, mais également dans leur partage.

Historique de la mise en place de la technologie

Selon les archives de l’AMC (Association for Computing Machinery), le Big Data aurait fait ses premiers pas en 1971. Chaque jour, cette technologie permet de traiter et de stocker les plus de 2,5 trillions de données générées dans le monde à partir des messages, des signaux GPS, des publications sur les réseaux sociaux, de l’enregistrement des transactions d’achat, des contenus vidéo et bien plus encore. Les géants du net comme Yahoo ont été les premiers à se pencher sur l’utilisation de cette technologie pour stocker les données des sites web en un seul et même endroit. Facebook et Google avec leur flux volumineux d’informations ont également suivi la tendance, de même que de grosses entreprises.

Les entreprises modernes et le Big Data

Les compagnies opérant dans le secteur des technologies de l’information (IT) sont les premières à s’être positionnées sur l’utilisation des possibilités qu’offre le Big Data. Parmi eux, on retrouve des fournisseurs de solutions IT comme HP, Oracle, SAP Software et IBM. Grâce à eux, il est possible d’avoir des supports informatiques ou des logiciels capables de supporter, de stocker et de traiter un grand flux de données. Ces entreprises sont suivies de très près par les géants du web que sont Facebook et Twitter récemment en instance de rachat qui peuvent proposer des services de plus en plus innovants sur leurs réseaux sociaux grâce au vaste espace de stockage de leurs serveurs datacenter de 277 volts. En France, des sociétés comme Hurence et Dataiku se sont spécialisées dans le développement de logiciels et d’équipements Big Data. Il existe également d’autres compagnies françaises qui ont opté exclusivement pour l’analyse de données (ex Criteo et Squid) ou pour le conseil en Big Data (ex Ysance). En matière de mégadonnées, Google reste l’un des plus grands bénéficiaires. En 2004, il se base sur cette technologie pour créer MapReduce, un modèle de programmation informatique pour distribuer des données volumineuses. Pour passer à un niveau de traitement quasi instantané, Google a finalement opté pour Google Cloud Dataflow en 2014, un service de traitement de données entièrement géré, compatible avec l’exécution de pipelines par flux (stream) et par lots (batchs) qui a contribué au succès du moteur de recherche dans le monde entier.

Ce néologisme fait tout simplement référence à la protection des données et des informations sur les systèmes et réseaux informatiques. Le terme est totalement entré dans l’usage courant parce qu’il s’agit clairement de l’un des enjeux majeurs de ce nouveau siècle ultra connecté.

Comment définir ce qu’est la Cyber Sécurité ?

Avant toute chose, il faut savoir que tout progrès scientifique répond à un principe de dualité : apporter des bénéfices, mais aussi générer des inconvénients. La prolifération des technologies informatiques ne déroge pas à ce système étant donné que si d’un côté l’on peut désormais profiter d’une meilleure connectivité, les risques d’intrusions, d’exposition et d’insécurité sont aussi bien plus importants étant donné qu'internet est impossible à contrôler entièrement. C’est fort de ces constats qu’est né le principe de Cybersécurité, un ensemble de logiciels, de mécanismes, de concepts et d’outils servant à protéger les systèmes, les programmes, le matériel et les réseaux informatiques de toute attaque numérique ou cyberattaque.

Les technologies de Cybersécurité les plus usitées

Les systèmes et réseaux informatiques sont exposés à de nombreuses formes d’attaques à savoir l’hameçonnage, le rançongiciel, les programmes malveillants et le piratage psychologique. La cybersécurité repose sur des capacités de prévention, de détection des menaces et de réaction pour protéger les programmes et matériels. À toutes les cyberattaques, elle répond par des technologies telles que les VPN ou réseaux privés virtuels, les pares-feux de nouvelle génération, les anti-virus et le filtrage DNS. Il s’agit là de quelques systèmes de sécurité de base. La cybersécurité fait également intervenir des équipements de pointe comme les systèmes d’authentification à deux facteurs (2FA), l’authentification multifactorielle (MFA) et les protocoles sécurisés de cryptages (SSL et TSL).

Abondamment prédit dans les livres de science-fiction, puis largement imaginé dans les premiers films fantastiques qui ont abordé le sujet, le phénomène d’Intelligence Artificielle est aujourd’hui loin d’être une chimère. Entre ce qui était imaginé et ce qui est réellement possible actuellement, il y a toutefois quelques nuances.

C’est quoi une IA ?

L’intelligence artificielle est une technologie d’imitation de l’intelligence humaine à partir d’algorithmes implémentés dans un environnement informatique en temps réel. Le but recherché est de parvenir à une intelligence hybride capable de penser et d’agir avec la complexité et les ondulations de l’esprit de l’homme, mais avec les capacités infinies de la machine. L’Intelligence Artificielle se base sur trois composantes nécessaires à savoir les systèmes informatiques, les systèmes de gestion de données massives (Big Data) et les codes avancés (algorithmes IA). Pour les ordinateurs et les appareils informatiques, l’IA représente l’avenir des processus de décisions complexes. Il s’agit également de l’opportunité de tester de plus en plus de technologies futuristes dans les domaines comme la médecine grâce aux capacités décisionnelles humaines qui y sont couplées. Aujourd’hui, l’IA est exploitée dans le secteur de la finance avec des applications et des moteurs IA pour détecter les opérations frauduleuses, dans les services clients virtuels (SCV) pour répondre aux clients sans intervention humaine, mais aussi dans les chatbot et autres systèmes de dialogue automatisé.

IA et utilisation numérique

L’Intelligence Artificielle est de plus en plus présente dans les smartphones de dernière génération avec des assistants vocaux intelligents intégrés à l’instar de Siri d’Apple, Alexa d'Amazon, Cortana de Microsoft et Google Assistant de Google. Les voitures intelligentes de Tesla, les Smart Home avec Bixby, les Advertisement sur les réseaux sociaux et sites web, les recommandations automatiques sur les sites de streaming, le Smart Input et les Smart Apps sont autant de progrès technologiques qui tirent parti de l’IA.