7 raisons de s'installer à MARSEILLE

Marseille fête les cinq continents à travers le jazz et à travers sa diversité également ! C’est ainsi que cité phocéenne a construit son identité. Cosmopolite sans prétention, elle affiche sa différence, dans ses rues, son langage. Elle accueille, absorbe et se réinvente tous les jours. Ici on est plutôt fier de venir d’ailleurs. 

Marseille mélange les cultures et c’est sa force. La complexité de son tissu social est sa richesse. Ce qui en fait un carrefour culturel unique en Méditerranée. Elle est radicalement ouverte sur l’autre. La diversité reste sa marque de fabrique.

Historiquement, le panier est le quartier d’accueil des nouveaux migrants. Dessiné en forme de triangle fermé, cerné par son urbanisme et son architecture, il est paradoxalement très ouvert.

Dans le panier il n’y pas de voitures qui circulent, ses rues piétonnes invitent à la découverte et à la balade. Dans ses montées et descentes, on découvre autant de paliers d’immersion pour accéder à sa vie palpitante. Le panier se transforme tout en gardant son originalité. 

Ce lieu pluriel est devenu le quartier des artistes. Les créations les plus délurées et les plus originales s’y trouvent.

Lorsqu’on parle de Marseille, on pense forcément : soleil et calanques. Il y a, en effet, les criques qui bordent la route et les eaux turquoises qui sculptent ses côtes. Il y a les plages accessibles seulement en bateau et d’autres qui méritent une bonne marche. Il y a la belle Cassis et sa corniche majestueuse.

Marseille invite à la découverte. les îles du Frioule et sa géologie merveilleusement contrastée. Sur la traversée on peut s’arrêter au château d’If et découvrir quelques pans d’histoire sur son rocher solitaire…

A la plage, le farniente est un art de vivre. On s’y rend pour nager ou bronzer mais c’est aussi un espace qu’on habite toute l’année. Sur la côte, on organise des apéros géants, l’espace est fédérateur. De jour comme de nuit ce lieu de vie ne désemplit pas. Des soirées dédiées à la danse sont souvent organisées sur la Corniche. Les amoureux du Foro brésilien y ont élu leurs quartiers. 

Ceux qui ne sont pas du bal, peuvent seulement marcher et respirer. L’air marin est chargé d’ions négatifs principalement d’oxygène et d’iode. C’est une source inépuisable de bien être, qui aide à se détendre et peut soulager les mots de tête, la fatigue et certaines maladies respiratoires. C’est toujours bon de faire une petite balade par le vieux port et profiter de ses rues piétonnes.

« La plaine en lutte », « Effaces-moi si tu peux », « Retraite à 13 ans », « Emeute toi » clament les murs de Marseille. « N’ont-ils donc rien à faire !» se demande un autre mur ? 

A Marseille, la politique et les revendications sociales s’expriment sur les murs. Tout se dit, s’écrie et se crie. Même les bornes d’eau sont joliment ornées de tags, transformées, détournées, elles racontent le ras le bol quotidien où chantent la vie et l’amour. 

A Marseille comme dans les temps anciens, les murs restent les supports de l’âme et gare à un entraineur de l’OM qui déçoit, ici les murs ne pardonnent pas. N’est-ce pas Garcia ?

Noailles demeure le cœur palpitant de Marseille malgré sa pauvreté. C'est dans le 1^er arrondissement que l’on fait le tour du monde. Les odeurs de son marché le prouvent. Elles sont uniques. On y trouve les fruits et légumes exotiques, les épices indiennes côtoient le manioc, le concombre se parfume à la fleur d’oranger, les beignets ont un goût d’ailleurs. 

Les dégustations se font sur place ou à emporter dans son panier ou dans sa tête. Une balade matinale dans le marché des Capucins pour éveiller les sens est recommandée. De plus, ce marché est le moins cher de Marseille !

A Marseille les pratiques culturelles sont multiples. La Villa Méditerranée et le Mucem font face à la mer tels des phares et sont devenus en peu de temps des lieux repères. 

Dans un quartier qui fut longtemps ouvrier et siège de la manufacture du tabac de Marseille, La belle de mai abrite La friche où l’on vient voir « les comédiens les musiciens et les magiciens… ». En son sein La Marelle célèbre les littératures du monde.

La culture métisse se trouve dans des lieux dédiés mais dans les rues aussi. Marseille est en passe de devenir la capitale du Street Art. Ses fresques murales interpellent et se réinventent tous les jours. Le cours Julien est emblématique de cette construction de l’image et de l’imaginaire. Pratique éphémère ? Absolument pas, alternative, oui !

Depuis Pagnol, Godard et Renoir, l’aventure cinématographique de Marseille n’a jamais cessé et n’a fait qu’évoluer. La lumière unique de la métropole et la diversité de ses paysages est une source inépuisable d’inspiration. Sa beauté génère quelque 40 millions d'euros, chaque année, depuis deux ans.

Depuis quelques années Plus Belle La Vie a élu ses quartiers dans, La Belle de Mai. La fiction phare de France 3 atteint des parts d’audience records. Et même si on peut lui reprocher de ne pas parler marseillais, la série compte 92% de phocéens dans ses équipes. Plus belle la vie (PBLV pour les intimes) attire les fans et de nombreux touristes qui viennent visiter les studios. On estime les retombées économiques sur la région à 20 millions d'euros depuis dix ans.

Loin du cinéma et du glamour, La cité phocéenne a trouvé d’autres moyens pour séduire. 

Marseille nous relie au monde en mode 2.0. La métropole est hautement connectée, elle est la porte d’entrée de câbles qui relient l’Europe à l’Afrique et à l’Asie. Elle devient ainsi un hub numérique et un pôle d’attraction pour les entreprises du numériques, ce qui a permis au leader Interxion d’ouvrir en mai dernier un nouveau data-center.

Par ailleurs, selon Hello Work (ancien Régions Job), Aix-Marseille est la 3^ème métropole la plus dynamique en France en 2018, ce qui bat en brèche tous les clichés sur son attractivité emploi.

Pour les porteurs de projets, créateurs et entrepreneurs, Marseille Innovation reste une référence dans le domaine. Depuis sa création elle a accompagné quelque 800 start-up. Avis aux intéressés !