Les sept liqueurs de mémé trop swag
Le petit apéro ou digeo qu’on servait à mamie le dimanche midi a changé d’univers. Le voilà noctambule, fréquentant les bars à cocktails et les milieux djeun’s. Les barmen mixologisent bénédictine, guignolet ou lillet au rythme de leurs shakers. Ces vieux classiques avaient disparu à la Libération avec le débarquement du mode de vie à l’américaine. Pour être in the mood, il valait mieux commander un whisky qu’une fine à l’eau. Ce sont des bartenders français qui ont ressuscité ces vieilles liqueurs, devenues la base de leurs combinaisons les plus secrètes. En voici sept, indispensables aujourd’hui aux mélanges nocturnes.
1 | Bénédictine |
Un digeo normand. C’est un négociant en vins, Alexandre Le Grand qui l’aurait inventé à partir d’un vieux recueil de recettes médicinales provenant de l’abbaye de Fécamp. En 1863, le marchand lance son nouvel élixir de santé. La bénédictine (40 °) est composée de 27 épices orientales et de 21 autres ingrédients dont le safran, l’arnica et la noix de muscade.
Exemples de cocktails avec bénédictine :
Extase...
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